On a tous des cernes, et elles apparaissent dès qu’on est un peu fatigué. Ce qui arrive très vite… entre le boulot, les courses, la vie de tous les jours, etc. C’est pour ça qu’on a inventé le concealer.
Pour bien choisir son anticernes et opter pour celui qui est le plus efficace possible, il faut déjà connaître ses cernes. Car on en a tous des différentes. Certaines prennent la forme de poches, d’autres de creux. Certaines sont plutôt bleutées, d’autres violacées ou rosées. Bref, c’est comme tout le reste dans le corps, ça dépend beaucoup de notre génétique et de notre chance face à Dame Nature…
Du coup, une fois au rayon des anticernes, il faut choisir une couleur qui soit à l’opposé de ce qu’on a comme cernes. Par exemple, un anticernes beige est idéal contre les cernes rosées, tandis qu’un anticernes rosé sera idéal contre celles qui sont bleutées. En fait, les deux couleurs s’annulent et on a l’impression qu’elles disparaissent.
Pour avoir encore plus de chance de les faire disparaître, un bon plan est aussi d’appliquer un correcteur avant l’anticernes lui-même. Cette technique permet de diminuer leur intensité et de devoir moins forcer sur l’anticernes. Le visage paraît alors plus naturel !
Enfin, il faut toujours choisir l’anticernes qui paraît le plus naturel. Le meilleur de tous, c’est celui qui peut se porter sans fond de teint. Il se camoufle tout seul, même si on ne touche pas au reste du visage. Cela dit, pour celle qui se maquille en même temps qu’en mettant du concealer, il n’y a pas d’ordre à respecter. L’anticernes idéal se met aussi bien avant qu’après.